8 août 2011
Tear-Jerkers, part 2
Je ne pleure pas forcément quand une scène est triste. La preuve, ici c'est plutôt (voire carrément) un happy end... Mais j'avoue que ce moment où Aron, quelques heures après s'être coupé le bras, voit cette famille de touristes au loin, et rassemble ce qui lui reste de forces et de voix pour appeler au secours, le tout sur la supeeerbe musique de Sigur Rós... ben ça m'a fait pleurer, voilà. Je crois que c'est surtout mes nerfs qui ont lâché, après avoir assisté, cachée derrière mon écharpe, à la scène la plus éprouvante de l'histoire du cinéma... C'est ce qui s'appelle le PTSD (Post-Traumatic Stress Disorder).
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